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La sécurisation de la route de Tramaka à Andenne

24 juin 2013 | Question orale de M. PREVOT au Ministre Di ANTONIO - Réponse disponible

Monsieur le Ministre,


La presse régionale s’est fait l’écho des inquiétudes des riverains de la rue de Tramaka dans le village de Seilles, entité d’Andenne, face à la recrudescence de la circulation routière sur ce tronçon de la RN 921.
Opérant la jonction entre le centre d’Andenne et la E42, cet axe est utilisé par un important trafic à un endroit où la route entame une descente vers la vallée mosane. La configuration étroite et encaissée de la chaussée dans cette rue, ainsi que la vitesse inadaptée des automobilistes, ont eu pour effet de voir les accidents se multiplier sur ce tronçon ces derniers temps.


Des réunions regroupant les autorités communales, le SPW et la commission de la sécurité routière ont eu lieu. Il fut un moment question de travaux de sécurisation qui devaient être réalisés courant de cette année, mais cette piste a été abandonnée. Du fait de la configuration des lieux, il semble que le SPW n’envisage aucun aménagement, qu’il s’agisse de chicanes, de rétrécissement ou d’élargissement de la voirie, à cet endroit.
Monsieur le Ministre :


- Pouvez-vous me confirmer que le SPW a renoncé à réaliser des travaux de sécurisation de ce tronçon et que la configuration des lieux en est la principale raison ?
- En concertation avec les autorités communales, d’autres options sont-elles étudiées ?
- A défaut de pouvoir sécuriser les lieux, l’installation d’un radar n’est-il pas envisageable afin d’amener les conducteurs à lever le pied ?


D’avance je vous remercie pour vos réponses,
 

Réponse du Ministre Di Antonio :

Monsieur le Député, les informations concernant la situation de la RN921 dans la traversée de Seilles sont les suivantes. Il est exact que cette problématique est débattue de façon régulière, depuis plusieurs années, entre les gestionnaires de voiries. Des réunions de la Commission provinciale de Sécurité routière ont déjà été organisées àce sujet. La configuration des lieux et l'existence d'un charroi lourd dans le bas de Seilles, là où les accidents se produisent, sont tels que la mise en place de ralentisseurs de type plateaux n'est pas envisageable
tandis que la largeur de la voirie ne permet pas d'envisager un rétrécissement. Le tracé est étroit,  sinueux et un peu pentu. La Direction des routes de Namur a examiné divers projets d'aménagement, dont la possibilité de création d'effet de porte en entrée d'agglomération et le rétrécissement des débouchés des quelques routes communales qui rejoignent la RN921. Le but était d'obliger les usagers venant des routes communales à s'intégrer moins vite sur la voirie régionale. Le plan de circulation local doit également être revu en collaboration avec la ville afin de limiter les entrées et sorties communales sur la RN921, par exemple par la mise à sens unique de diverses petites voiries. Quant à la possibilité d'implanter un radar, comme déjà évoqué à maintes reprises dans cette assemblée, je souhaite réserver l'usage de ces dispositifs pour les routes classées en Zone à haut risque et il est donc assez difficile, vu les statistiques sur cette route, d'être dans cette catégorie-là pour le moment. À moins de réexaminer la question, mais statistiquement, on n'y arrive pas. À moins de le faire sur différents tronçons
peut-être.sinueux et un peu pentu. La Direction des routes de Namur a examiné divers projets d'aménagement, dont la possibilité de création d'effet de porte en entrée d'agglomération et le rétrécissement des débouchés des quelques routes communales qui rejoignent la RN921. Le but était d'obliger les usagers venant des routes communales à s'intégrer moins vite sur la voirie régionale. Le plan de circulation local doit également être revu en collaboration avec la ville afin de limiter les entrées et sorties communales sur la RN921, par exemple par la
mise à sens unique de diverses petites voiries. Quant à la possibilité d'implanter un radar, comme déjà évoqué à maintes reprises dans cette assemblée, je souhaite réserver l'usage de ces dispositifs pour les routes classées en Zone à haut risque et il est donc assez difficile, vu les statistiques sur cette route, d'être dans cette catégorie-là pour le moment. À moins de réexaminer la question, mais statistiquement, on n'y arrive pas. À moins de le faire surdifférents tronçons peut-être.
 

Réplique du Député Prévot :

Je ne souhaite évidemment pas que les statistiques nous amènent à devoir prendre en
considération celle-ci comme route à haut risque, c'est certain. J'entends donc qu'il y a bien confirmation que les
aménagements projetés ne pourront pas s'effectuer. Cela veut-il dès lors dire que la seule voie d'alternative, c'est que du côté de l'autorité communale, on prenne les dispositions type d'un effet de limitation de vitesse par le biais d'un radar, préventif le cas échéant, fixe dans l'autre option, mais qu'il n'y a pas grand-chose d'autre en tout cas qui puisse être envisagé à ce stade ? J'en prends bonne note.
 

Réplique du Ministre Di Antonio :

un tronçon qui, statistiquement, rentrerait dans nos définitions qui ont bien dû être faites à un moment donné de Zone à hauts risques. Pour le reste, il est toujours possible d'installer un radar là-bas, si ce n'est
qu'il ne bénéficie pas du dispositif régional de soutien. Mais évidemment que les services de Police peuvent toujours faire des contrôles de vitesse dans ces endroitsl à, mais pour avoir un radar permanent co-financé par la région, il faut être dans ces statistiques de Zone à haut risque. Peut-être qu'une manière de réétudier la question est aussi d'examiner sur la meilleure porte.

Réplique du Député Prévot :

Il reste encore la capacité pour l'autorité communale de prendre à sa charge entière l'installation aussi d'un radar. Merci beaucoup.

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