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La sécurisation de la traversée de Cognelée

21 octobre 2013 │ Question orale de M. PREVOT au Ministre Di ANTONIO - Réponse disponible

Monsieur le Ministre,


Je souhaiterais refaire le point avec vous sur un dossier au sujet duquel vous avez déjà pu vous exprimer à plusieurs reprises : la sécurisation de la traversée de Cognelée.
Depuis plusieurs années, des riverains de la nationale, qui traverse ce village, font part de leurs craintes face à la vitesse excessive des automobilistes et demandent, particulièrement par l’entremise de l’un d’entre eux, que la chaussée soit aménagée par la pose de potelets ou un rétrécissement de la voirie.
Courant 2012, le SPW a procédé à certains aménagements de la chaussée consistant, notamment, à installer des glissières le long de la route et à dessiner des bandes centrales de couleurs rouges.
En janvier dernier, vous indiquiez que Direction de la sécurité des infrastructures routières de la DG01 procédait à une analyse de la situation, suite aux aménagements réalisés, et qu’un suivi serait apporté au dossier en fonction des résultats de celle-ci.


Monsieur le Ministre :


- Disposez-vous des résultats de cette analyse ? Dans l’affirmative, quelles en sont les conclusions ? Celles-ci induisent-elles de devoir revoir les aménagements en place ?
- Depuis la réalisation de ceux-ci une évolution positive a-t-elle pu être observée dans le chef des automobilistes ?
- Envisagez-vous de compléter les aménagements déjà réalisés ?
 

D’avance je vous remercie pour vos réponses,

 

Réponse du Ministre C. Di ANTONIO

 

Comme je l'avais signalé en décembre dernier, des mesures de vitesse ont été effectuées dans le courant
du mois de janvier de cette année. Les comptages à cet endroit recensent environ 2 600 voitures et 170 camions par jour. Ces résultats ont permis de démontrer qu'il y a une diminution dans la vitesse dans la traversée de Cognelée.
 

À son entrée, les vitesses se mesurent à environ 82 km/h et, dans la traversée, entre 64 et 67 km/h. La
relation entre les vitesses évoquées et les effets de porte qui contribuent notamment à marquer une transition entre la zone 90 et la zone agglomérée permet de constater une adaptation de la vitesse des usagers dans la traversée du village, ce qui est l'effet recherché lors de la création de tels aménagements.
 

Compte tenu de ces résultats, l'administration propose donc de ne pas envisager, pour l'instant, d'aménagements complémentaires compte tenu des vitesses qui ont pu être mesurées et préfère privilégier la réalisation d'aménagements de sécurisation à d'autres endroits du réseau routier régional de la province de Namur. Il est vrai que l'on est un peu surpris par rapport à ce qui pouvait se dire des mesures effectives de vitesse entre 64 et 67 km/h. Juste après le passage entre une zone 90 et une zone 50, c'est encore relativement raisonnable, ce qui n'empêche pas évidemment les excès ponctuels, mais on connaît la problématique.
 

Réplique du Député M. PREVOT

 

Je remercie Monsieur le Ministre pour ces précisions et les mesures chiffrées.
 

C'est un peu comme la météo, il y a la température réelle et la température ressentie, probablement que les éléments chiffrés que vous donnez sont des éléments factuels, il n'en demeure pas moins que, du côté des riverains, le ressenti d'insécurité est aussi fort important.
 

À l'échelle fédérale, on déploie d'ailleurs toute une série de plans pour lutter contre le sentiment d'insécurité, c'est dire que, même s'il est subjectif, il n'en demeure pas moins une réalité pour le vécu des
citoyens. Il conviendrait donc, probablement, me semble-t-il, même si j'entends bien qu'il y a d'autres
priorités à devoir rencontrer, je peux aisément l'entendre, de voir s'il n'y a pas, ne fut-ce qu'en termes de signalétiques, des éléments complémentaires et peu coûteux qui pourraient être faits pour sensibiliser et
accroître alors cet effet de porte.
 

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