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La création d’une ligne Rapido entre Arlon et le Grand-Duché de Luxembourg

09 mai 2017 | Question écrite de D. FOURNY au Ministre DI ANTONIO - Réponse disponible

Monsieur le Ministre,


A l’instar des lignes existantes dans le Brabant wallon, les usagers luxembourgeois plaident depuis de nombreuses années pour l’aménagement d’une ligne Rapido entre Arlon et le Grand-Duché de Luxembourg.

En réponse à une précédente interpellation sur le sujet, le Ministre Antoine m’indiquait, en 2008, que des contacts avaient lieu avec les autorités grand-ducales avaient marqués un accord de principe afin d’autoriser l’utilisation de la bande d’arrêt d’urgence tout en insistant sur les problèmes techniques et de sécurité qui se posent.

Monsieur le Ministre :


- Pouvez-vous faire le point sur ce dossier ?
- Des contacts sont-ils toujours en cours ?
- Les autorités luxembourgeoises ont-elles pu résoudre les problèmes soulevés ?
- Dans l’affirmative, le TEC Namur-Luxembourg pourrait-il rapidement avancer dans ce projet notamment au travers d’une expérience pilote ?

Je vous remercie pour vos réponses,

 

Réponse du Ministre C. DI ANTONIO le 24/05/2017

 

Le TEC Namur-Luxembourg assure déjà, pour les navetteurs, 5 lignes régulières de bus au départ des principales localités du Sud-Luxembourg et à destination de Luxembourg-ville et que le déficit d’exploitation de celles-ci est entièrement à charge du TEC qui ne perçoit aucune intervention financière de l’État luxembourgeois. La part modale du TEC est cependant très faible.

Pour rappel, dans le cadre du SMOT, la piste de création de bandes bus le long de l’E411 entre Arlon et Luxembourg n’a pas été retenue. Les autorités grand-ducales ont opté pour une stratégie de création de sites propres en faveur des autobus sur les tronçons les plus chargés des routes nationales (N5 et N6).

La politique de la mobilité luxembourgeoise est plutôt accentuée sur les transports publics et en particulier sur le train. En effet, pour les déplacements depuis la zone d’Arlon vers Luxembourg, le train reste le mode à privilégier, car il est en mesure d’offrir un service et une vitesse sans comparaison.

L’amélioration de la mobilité transfrontalière est une priorité et un défi important à relever pour les années à venir. C’est pourquoi, ce 9 février 2017, des représentants des Ministres des Travaux publics, de la Mobilité et des Transports, ainsi que la direction des routes de la Province de Luxembourg, se sont rendus au cabinet du ministre luxembourgeois des infrastructures.

Lors de cette rencontre très fructueuse ont été abordés les enjeux en termes de mobilité pour ces milliers de travailleurs, et les réponses innovantes pouvant y être apportées pour appréhender ces défis futurs, notamment en termes de covoiturage.

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