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Le rapport du Sénat du 13 juin 2016 sur la radicalisation en Belgique

11 juillet 2016 | Question écrite de J. ARENS au Ministre FURLAN - Réponse disponible

Monsieur le Ministre,


Le 13 juin dernier, le Sénat adoptait un rapport sur la radicalisation en Belgique. Ce rapport contient plusieurs recommandations en matière de collaboration intrabelge en matière de lutte contre le radicalisme.

Monsieur le Ministre, ceci appelle les questions suivantes :


1. Votre cabinet a-t-il pris connaissance de ce rapport ?
2. Quelles recommandations de ce rapport comptez-vous mettre en œuvre ?

D’avance, je vous remercie.

 

Réponse du Ministre-Président P. MAGNETTE le 11/08/2016

 

Je puis confirmer à l’honorable membre, avoir bien pris connaissance du rapport réalisé par le Sénat en juin 2016 visant à dresser un état des lieux des initiatives menées par le Gouvernement fédéral et les entités fédérées en matière de prévention et de lutte contre le radicalisme. Je puis ainsi signaler que ce rapport n’est pas exhaustif et comporte certaines erreurs.

Comme mentionné dans la question, le rapport souligne, en page 99, qu’il n’existe pas, en Belgique, de structure faîtière disposant d’une vision globale des initiatives prises aux différents niveaux de pouvoir ou pouvant relayer les « bonnes pratiques » entre eux dans une logique de coordination des diverses mesures. À l’estime des auteurs du rapport, le Comité de concertation pourrait être l’organe indiqué pour prendre des initiatives à cet égard.

Comme déjà précisé à plusieurs reprises en commission, je n’ai pas attendu les conclusions de ce rapport pour être demandeur d’une coordination générale de la politique tant préventive que répressive et d’une coopération poussée entre le Gouvernement fédéral et les gouvernements fédérés.

Pour rappel, à la suite de la demande que j’avais formulée en Comité de concertation lors de sa réunion du 28 janvier 2015, une plate-forme interfédérale « terrorisme et radicalisme » a bien été constituée. À ce jour, elle s’est réunie à neuf reprises, le 17 mars, 21 avril, 2 juin, 11 septembre, 23 octobre et 27 novembre 2015 ainsi que les 19 janvier, 22 février et 13 avril de cette année. Depuis avril, nous n’avons malheureusement plus reçu aucune invitation du cabinet du Premier Ministre qui coordonne les travaux de ce groupe. Comme souvent précisé, le fonctionnement de cette plate-forme n’est pas optimal. Cela étant, ce lieu d’échanges permet néanmoins de réunir les représentants des ministres fédéraux les plus directement concernés (Intérieur, Justice, Affaires étrangères), l’Ocam et la Sûreté de l’État, avec des représentants de toutes les entités fédérées.

De manière ponctuelle, ces questions ont, par ailleurs, été évoquées au niveau ministériel, en marge de réunions du Comité de concertation.

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