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L’effet pervers du découplage des allocations d’insertion et familiales pour une certaine catégorie de jeunes demandeurs d’emploi

29 septembre 2015│Question orale de B. DREZE à la Ministre TILLIEUX - Réponse disponible

Madame la Ministre, 

Le durcissement des règles du chômage décidé par le fédéral produit un effet pervers demeuré inaperçu jusqu’il y a peu. De nombreux jeunes risquent en effet d’être privés à la fois des allocations d’insertion et des allocations familiales.


Il s’agit ici de jeunes qui n’auront pas trouvé d’emploi au terme de leur stage d’insertion. S’ils ne remplissent pas les conditions d’études ouvrant le droit aux allocations d’insertion avant 21 ans, ils devront attendre cet âge pour pouvoir y prétendre. Ils ne pourront pas non plus continuer à bénéficier des allocations familiales, comme c’était le cas durant leur stage d’insertion (autrefois appelé « stage d’attente »).
Cette situation fâcheuse se double d’un effet pervers : les jeunes non-diplômés qui auront terminé le stage d’insertion dans les temps, ayant obtenu deux évaluations positives pour leur recherche d’emploi, perdront leurs allocations familiales. Ceux dont le stage sera prolongé, vu l’absence d’efforts jugés suffisants dans la recherche d’un emploi, pourront encore les percevoir. C’est évidemment une injustice et un mauvais signal.

Le gouvernement wallon a donc décidé de saisir le comité de concertation.


- Ce point a-t-il bien été évoqué au comité de concertation ? Qu’en est-il ressorti ?
- La position du gouvernement wallon est-elle appuyée par les autres gouvernements régionaux ? A défaut d’obtenir du fédéral le retrait de la mesure contestée, la Wallonie dispose-t-elle de leviers pour mettre fin à cette situation dommageable, dans le cadre de ses propres politiques ?

Je vous remercie pour vos réponses.

 

Réponses et répliques voir lien ci-dessous : 

nautilus.parlement-wallon.be/Archives/2015_2016/CRIC/cric9.pdf

 

 

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