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La digitalisation partisane citoyenne dans les villes de moins de 30 000 habitants

16 juillet 2018 | Question orale de P.BAURAIN à la Ministre DE BUE - Réponse disponible

 
Madame la Ministre,


Nous assistons aujourd’hui à une prise de conscience politique de l’importance de recentrer la démocratie autour du citoyen, notamment au travers des élections. Ce renouveau peut être réalisé en partie grâce à la digitalisation de la participation citoyenne, du moins à l’échelle locale. Il faut entendre par cet aspect numérique : l’utilisation d’Internet et des applications diverses permettant de récolter les demandes citoyennes, notamment par l’usage de sondages.


Récemment, plusieurs villes wallonnes se sont dotées de ce type d’application, en vertu d’une politique de communication menée au niveau local intitulée la « Smart City ». La plateforme de concertation numérique « Fluicity » vise ainsi par exemple à construire des politiques publiques sur un territoire et à développer la participation citoyenne pour la réalisation de projets.


Madame la Ministre, ceci appelle les questions suivantes :


1. L’utilisation de ce type de plateforme doit-il être réglementé ou limité en période prudente pré-électorale ? Ce type d’outils permet en effet de facilement promouvoir une prise de position.
2. Disposez-vous de chiffres sur le coût pour la collectivité de ce type d’application ? En particulier dans les communes de moins de 30 000 habitants ?
3. Doit-on procéder à un marché public pour adhérer à ce type d’application ou de plateforme de démocratie participative ?
4. L’utilisation de ce type d’application peut-il suppléer d’autres mécanismes de consultation de la population ?

D’avance, je vous remercie.

 

Réponses et répliques voir lien ci-dessous :

nautilus.parlement-wallon.be/Archives/2017_2018/CRIC/cric189.pdf

 

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