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La mise sous cocon du site de Chertal

12 janvier 2016 | Question orale de Marie-Dominique SIMONET au Ministre MARCOURT - Réponse disponible

 

Monsieur le Ministre,

Lorsqu’ArcelorMittal a cessé la majeure partie de ses activités dans le bassin liégeois, on le sait, un accord est intervenu entre la direction, les syndicats et la Région wallonne ; accord qui comprenait notamment la mise sous cocon de la phase à chaud. A l’époque, l’idée était de rendre possible une relance des activités sur ces sites mais aujourd’hui, cette mise sous cocon perd peu à peu de son sens.
Ainsi, il me semble intéressant de revenir sur la mise sous cocon d’un site particulièrement stratégique, à savoir le train à large bande de Chertal.


Bien que la levée de la mise sous cocon de ce site ait été réclamée par les organisations syndicales, en septembre dernier, la direction annonçait que la mise sous cocon du chaud devrait être maintenue encore pendant trois ans.


Il va sans dire qu’une potentielle levée de la mise sous cocon représenterait un cout important pour ArcelorMittal qui n’a donc que peu d’intérêt à l’encourager. Pourtant, celle-ci reporte les obligations de dépollution pour plusieurs années et par conséquent le redéploiement économique de la région.

Monsieur le Ministre, pouvez-vous faire le point sur ce dossier ?
A l’heure de l’ouverture de l’écluse de Lanaye à grand gabarit et de l’inauguration du Trilogiport, la viabilisation de ces terrains apparait stratégique. Au vu de la dernière réunion tripartite, est-il envisageable de récupérer ces terrains à court ou moyen terme ? Des solutions sont-elles envisageables ?

D’avance, je vous remercie pour vos réponses.
 

Réponses et répliques voir lien ci-dessous : 

 

nautilus.parlement-wallon.be/Archives/2015_2016/CRIC/cric77.pdf

 

 

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