La sensibilisation autour du prêt « coup de pouce » à venir

Monsieur le Ministre,

Vous avez confirmé dans nos récents échanges sur votre note de politique générale l’entrée en vigueur du dispositif « prêt coup de pouce » pour le 1er janvier 2016, dont la SOWALFIN aura la gestion.
Nous aurons très certainement l’occasion de discuter de ses modalités dans les semaines à venir. Toutefois, sachant que son entrée en vigueur est toute proche et que les citoyens pourraient donc y avoir recours très prochainement, j’aimerais interroger Monsieur le Ministre sur l’information qui en est aujourd’hui faite.
Pouvez-vous faire le point sur la sensibilisation menée quant à ce nouveau mécanisme ? Quelles actions ont été mises en place ? Quels canaux ont été utilisés ?

D’avance, je vous remercie.
 

Réponse du Ministre JC MARCOURT 

Madame la Députée, la sensibilisation relative au mécanisme du « prêt coup de pouce » a débuté dès l'élaboration même de la mesure. En effet, le dispositif a été défini en collaboration avec différentes fédérations représentant
les PME qui, je le rappelle, sont les destinataires et bénéficiaires de ce prêt.

Aujourd'hui, le texte relatif à la mesure poursuit son parcours législatif, impliquant notamment une
communication vers les autres entités fédérées.

Comme vous l'indiquez dans votre question, ce sera la SOWALFIN qui sera chargée de la mise en œuvre du
dispositif. Elle travaille à un plan de communication qui passera par les canaux traditionnels, mais aussi numériques.

Ce plan inclut également des contacts privilégiés avec les interlocuteurs habituels de la SOWALFIN, que sont le secteur bancaire et le secteur des professionnels du chiffre, notamment. En outre, des contacts sont également en cours avec différentes organisations représentatives des PME, afin d'organiser une communication vers leurs membres.
 

Réplique de la Députée MM SCHYNS

C'est clair. Je vois au moins qu'il y a des contacts avec tous ceux qui représentent le secteur des PME, puisque c'est elles qui sont visées.

Comme on sait que la question de l'information est essentielle pour eux – on sait qu'ils n'ont pas toujours
accès à un maximum d'information – je pense que c'est bien que le plan de communication existe. Je pense
aussi que c'est bien que l'on passe par d'autres canaux que les canaux traditionnels. J'ai relevé que vous parliez
des canaux numériques. Maintenant, j'ai envie de dire « qu'il n'y a plus qu'à » et il faut que l'information circule.