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Le rapport 2014 « Planète Vivante » du Fonds mondial pour la Nature

08 octobre 2014 | Question orale de S. MOUCHERON au Ministre DI ANTONIO - Réponse disponible

Monsieur le Ministre,


Le Fonds mondial pour la Nature (WWF) a publié mardi dernier le rapport « Planète Vivante ». Ce rapport est publié tous les deux ans et fait l’état de notre planète. Il analyse l’évolution de la biodiversité, des écosystèmes ainsi que des pressions humaines sur les ressources naturelles.


Les conclusions de ce rapport m’ont particulièrement interpellée et inquiétée. En effet, même si le constat n’est malheureusement pas neuf, la demande de ressources naturelles dépasse la capacité de notre Planète à les reconstituer. Cette dette environnementale résulte principalement du mode de consommation des pays les plus riches et est aggravée par les perspectives démographiques actuelles (les analystes prévoient 2 milliards d’êtres humains à accueillir d’ici 2050) et une absence d’action suffisante de la part des autorités. Ce rapport présente des observations concernant notre pays : « La Belgique occupe la 5ème place des plus grosses empreintes écologiques par habitant ». Au WWF, cette situation est dénoncée : « si tout le monde vivait comme un Belge, il faudrait 4,3 planètes pour subvenir aux besoins de chacun ». Nous savons qu’en Belgique, deux secteurs particulièrement sont énergivores : les transports et le bâtiment.


Les faits sont donc bien présents et nous devons continuer à mettre en œuvre une politique environnementale efficace afin d’apporter des solutions concrètes face à ces constats. Des solutions sont techniquement et humainement possibles : consommer plus raisonnablement en bannissant le gaspillage, favoriser la production locale, produire en utilisant moins d’énergie, opérer une transition énergétique vers le renouvelable. Chaque citoyen peut participer à la réduction de l’empreinte écologique, mais c’est également aux pouvoirs publics et aux autorités qu’il revient de se montrer exemplaire en la matière. Dans ce cadre, la Wallonie a fixé une réduction de 30% des émissions de CO2 d’ici 2020. Le Gouvernement wallon doit donc poser différents choix afin de garantir des impacts directs sur l’environnement.


Monsieur le Ministre peut-il nous dire pour commencer quelle est la valeur de cette étude ainsi que des indicateurs utilisés? Quels critères sont retenus pour établir cette classification ? Comment est-t-il possible, par exemple, que le Danemark se retrouve être le 4ème pays ayant la plus grosse empreinte écologique par habitant, lorsqu’on connait pourtant les efforts faits par le pays, en termes notamment d’énergies renouvelables ?
Ensuite, ces chiffres ne concernent ici que la Belgique dans son entièreté. Pouvez-vous nous exposer les chiffres concernant la Wallonie seulement ? Sur cette base, quelles actions concrètes le Gouvernement va-t-il mettre en place afin d’apporter effectivement, sur le court et le long terme, des réponses efficaces en termes d’empreinte écologique ?
 

Je vous remercie.

 

Réponses disponibles en séance plénière voir lien ci-dessous :

 

nautilus.parlement-wallon.be/Archives/2014_2015/CRA/cra3.pdf


 

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