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Le suivi du dossier de fermeture de la résidence « Massimo » à Gosselies

18 octobre 2016 | Question orale de V. SALVI au Ministre PREVOT - Réponse disponible

Monsieur le Ministre,


Suite au placement de scellés par le Parquet de Charleroi, il y a environ quinze jours, à la « Résidence de services » « Massimo » à Gosselies, 46 résidents ont dû être déplacés dans l’urgence.
Je sais qu’une instruction avait été ouverte il y a six semaines, à la suite de plusieurs témoignages concernant les conditions d'hygiène au sein de ce « home » qui accueille des personnes de tous âges, qui seraient alcooliques ou qui souffriraient de problèmes psychiatriques.
Selon les informations récoltées, les conditions dans lesquelles vivaient les résidents étaient plus que déplorables : rats, odeurs pestilentielles, hygiène inexistante, manque de soins, etc.

Les 46 résidents qui y vivaient étaient, me dit-on, soignés par deux « hommes à tout faire » de nationalité indienne, au français très approximatif, et dont l’un d’entre eux dormait au sein du bâtiment, à même le sol sur une paillasse...

Les enquêteurs soupçonnent également des faux et des abus de confiance de la part du gestionnaire. Un ancien résident aurait même déposé plainte, son compte bancaire ayant été vidé…
Avant toute chose, quelles solutions individualisées ont pu être trouvées pour les 46 résidents ? Cette recherche de solution se fait-elle en parfaite collaboration avec la Ville, l’ISPPC et le CPAS de Charleroi ?
Monsieur le Ministre, si de tels faits, gravissimes, sont avérés, je souhaiterais savoir comment cela peut-il encore, de nos jours, se produire sur notre territoire ?


S’agissant d’atteintes graves à la dignité humaine, pouvez-vous faire le point avec nous sur ce dossier ? Cette « Résidence » était-elle connue de votre Administration ? Est-ce que l’Administration wallonne avait déjà, précédemment, procédé à des inspections dans ce bâtiment ?


Cette résidence disposait-elle d’un titre de fonctionnement de la Région wallonne ? S’agit-il d’un établissement agréé par la Région wallonne, et si oui, à quel titre l’était-il : maison de repos, résidence-services, maison d’accueil ou de vie communautaire, abris de nuit ?
Sait-on depuis combien de temps les pensionnaires subissaient ces manquements au quotidien ?

Enfin, que met en place et de quels moyens dispose aujourd’hui la Wallonie pour éviter que de tels faits ne se produisent et que de tels établissements demeurent encore sur notre territoire ?

Je vous remercie d’avance pour vos réponses.

 

Réponses et répliques voir lien ci-dessous : 

nautilus.parlement-wallon.be/Archives/2016_2017/CRIC/cric12.pdf

 

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