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Le résultat des actions des centres d’insertion socio-professionnelle

29 janvier 2017│Question orale de B.DREZE au Ministre JEHOLET - Réponse disponible

Monsieur le Ministre,

 

Un article du Soir publié le 16 janvier, consacré à vos intentions à l’égard des Centres d’insertion socio-professionnelle, n’est pas passé inaperçu parmi les opérateurs concernés. Le secteur a d’ailleurs réagi très promptement par la voix de la secrétaire générale de l’Interfédé, et cette réaction a elle aussi fait l’objet d’un article dans l’édition du 21 janvier du même quotidien.
Je ne reviens pas sur la problématique du contrôle des dépenses éligibles et des rémunérations, évoquée ici à l’examen d’une observation de la Cour des Comptes. Je vise vos propos relatifs aux résultats engrangés en termes d’insertion. Selon vous, 15.8000 stagiaires auraient été accueilli en 2017, pour aboutir à 2.000 insertions (12%). Un pourcentage beaucoup trop faible à vos yeux.
L’Interfédé nuance les chiffres : il ne faudrait tenir compte que des stagiaires dont la formation s’était achevée fin 2017, soit 11.400. Le pourcentage de mises à l’emploi passerait dès lors de 12 à 23 %.
Surtout, le secteur estime que le résultat de ses actions ne doit pas être évalué que sur base des mises à l’emploi. Il s’occupe de publics fort éloignés de l’emploi et se consacre surtout à la préformation. Evoquons par exemple l’alphabétisation, qui bien sûr ne conduit pas immédiatement à l’emploi, mais est un préalable indispensable pour accéder à des formations qualifiantes. Si l’on prend en compte cet objectif, le taux d’insertion s’établirait à 73 %.

- Ne pensez-vous pas qu’en effet, l’accès des stagiaires à une formation qualifiante doit être mis à l’actif des CISP ?
- Avez-vous une vue, des statistiques, sur le taux d’insertion à l’emploi à l’issue de ces formations qualifiantes (après une préformation CISP) ?

Je vous remercie.

 

Réponses et répliques voir lien ci-dessous : 

nautilus.parlement-wallon.be/Archives/2018_2019/CRIC/cric72.pdf

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