La sécurité routière à proximité des écoles
6 novembre 2008 | Question écrite de M. Carlo DI ANTONIO à M. le Ministre Michel DAERDEN
Monsieur le Ministre,
Le vendredi 24 octobre, un garçonnet de 4 ans a été accroché, heureusement sans gravité, par un véhicule alors qu’il traversait sur un passage pour piétons à proximité de son école.
Route d’Ath sur la RN 56 à Jurbise.
Nous apprenons, à la suite de cet accident, que depuis près de trois ans, la direction de l’école maternelle, l’association des parents ainsi que Mme La Bourgmestre de Jurbise ont alerté par courrier les services du Ministère de l’Equipement et des Transports (MET) dont dépend ce tronçon.
La demande semblait pourtant simple : mieux signaler la présence de l’école, la présence de la zone 30 et rendre plus visible la présence du passage pour piétons qui se trouve à son abord.
Monsieur le Ministre, comment peut-on expliquer ces faits ?
Avez-vous eu connaissance des différentes demandes qui ont été faites pour la sécurisation de la petite école des Bruyères ?
Quelle a été la réponse du MET à ce sujet ?
Quels sont les délais d’intervention lorsque de telles demandes sont faites ?
Monsieur le Ministre peut-il nous dire quelles sont les priorités du MET concernant la sécurisation des abords des écoles ?
Sans vouloir entrer dans une polémique stérile, faut-il déplorer un accident grave pour que des moyens soient mis en place ?
Je vous remercie.
Carlo DI ANTONIO
Le vendredi 24 octobre, un garçonnet de 4 ans a été accroché, heureusement sans gravité, par un véhicule alors qu’il traversait sur un passage pour piétons à proximité de son école.
Route d’Ath sur la RN 56 à Jurbise.
Nous apprenons, à la suite de cet accident, que depuis près de trois ans, la direction de l’école maternelle, l’association des parents ainsi que Mme La Bourgmestre de Jurbise ont alerté par courrier les services du Ministère de l’Equipement et des Transports (MET) dont dépend ce tronçon.
La demande semblait pourtant simple : mieux signaler la présence de l’école, la présence de la zone 30 et rendre plus visible la présence du passage pour piétons qui se trouve à son abord.
Monsieur le Ministre, comment peut-on expliquer ces faits ?
Avez-vous eu connaissance des différentes demandes qui ont été faites pour la sécurisation de la petite école des Bruyères ?
Quelle a été la réponse du MET à ce sujet ?
Quels sont les délais d’intervention lorsque de telles demandes sont faites ?
Monsieur le Ministre peut-il nous dire quelles sont les priorités du MET concernant la sécurisation des abords des écoles ?
Sans vouloir entrer dans une polémique stérile, faut-il déplorer un accident grave pour que des moyens soient mis en place ?
Je vous remercie.
Carlo DI ANTONIO
