La sécurité routière notamment par rapport aux tronçons dangereux du réseau routier et autoroutier wallon

M. Herbert GROMMES (cdH)

Encore trop de victimes sur nos routes! est l'une des conclusions des Etats Généraux de la sécurité routière qui se sont tenus pour la première fois en Région wallonne. Les efforts doivent se poursuivre pour atteindre l'objectif commun de réduire le chiffre de victimes de la route à 750 en 2010 et à 500 en 2015.

La multitude des acteurs constitue un élément qui alourdit la mise en œuvre d'une politique efficace de sécurité routière. De nombreux paramètres très variés rendent le processus vers une plus grande sécurité routière plus complexe. Je pense aux règles de conduite, au comportement individuel de chaque usager, aux contrôles et aux sanctions, à la qualité du véhicule ou encore à la qualité des équipements. Nous le savons, la mauvaise qualité des équipements, des infrastructures est une des causes responsables d'accidents dans lesquels les usagers faibles (dont les motards) sont impliqués.

Quelle est la politique du Ministre en matière de sécurité routière ?
Quelle est sa réponse en termes de qualité des équipements et en terme d'amélioration de l'infrastructure ?
Selon quels critères les tronçons sont qualifiés de dangereux ?
Est-ce que tous les tronçons dangereux sont immédiatement améliorés ?
Quels sont les moyens consacrés aux seuls travaux de sécurité ?
Est-il possible d'identifier le montant des investissements consacrés à l'entretien pour des raisons de sécurité ?
Quel pourcentage cet entretien représente par rapport au budget total de l'entretien ordinaire et extraordinaire ?
Avez-vous des informations sur le nombre de tronçons qui ont été fermés sous cette législature à la circulation pour des raisons de sécurité ?
Combien de km représentent-ils ?