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L’accès aux logements publics des femmes victimes de violences conjugales

27 mars 2018 | Question écrite de V. SALVI à la Ministre GREOLI

Monsieur le Ministre,

 

Actuellement, pour obtenir l'attestation de « sans abrisme », délivrée par le CPAS et donnant droit à un supplément de points dans le cadre d'une demande de logement social, une femme battue doit normalement passer par une maison d'hébergement. La victime de violences au sein de sa famille, qui a quitté son logement dans les 3 mois qui précédent l’introduction de sa candidature pour obtenir un logement public obtient 5 point de priorité lorsqu’elle obtient une attestation d’un centre d’hébergement reconnu ou d’un cpas.

Pour soutenir et protéger les victimes de telles violences, nous savons que la Wallonie compte 19 maisons d’accueil et d’hébergement spécialisées dans l’accueil des femmes victimes de violences entre partenaires et de leurs enfants.

Le dispositif wallon de lutte contre les violences entre partenaires en Wallonie compte par ailleurs des services d’accompagnement ambulatoire des victimes de violences.

Madame la Ministre, sachant que toutes les communes ne disposent pas d'une maison d'hébergement, ne serait-il pas dès lors opportun de réfléchir à donner la possibilité aux services ambulatoires, tel que Declic par exemple, qui est donc un service relais accueil des victimes de violences conjugales dans la région de Chimay-Thuin, de pouvoir délivrer également ce genre d'attestation ? Serait-ce opportun selon vous ?

Envisagez-vous de prendre contact avec votre collègue en charge du Logement au niveau du Gouvernement wallon pour mener une réflexion à ce sujet ?


Je vous remercie d’avance pour votre réponse

 

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