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Le dispositif de voitures-radar

14 mars 2017 │ Question écrite de V. WAROUX au Ministre PREVOT - Réponse disponible

Monsieur le Ministre,


La France a décidé de se doter de plus de 300 voitures de police banalisées équipées de radars embarqués. Elles seront désormais conduites par des prestataires privés et devront rouler huit heures chaque jour. Au lieu de deux agents des forces de l’ordre, un chauffeur privé tiendra désormais le volant. La création d’emplois de chauffeurs privés et le dégagement de temps permettant aux policiers de se concentrer sur d’autres missions, comme le contrôle d’alcoolémie et la lutte contre le terrorisme, sont mis en avant. Les syndicats policiers s’inquiètent toutefois de la perte de missions régaliennes.


Monsieur le Ministre, un tel système de voiture-radar est-il envisagé en Wallonie ? La privatisation d’un tel secteur est-elle légale ? Et si oui, est-elle souhaitable ?

Merci pour vos réponses.

 

Réponse du Ministre M. PREVOT le 12/04/2017

 

Je rappelle tout d’abord que le contrôle de la vitesse est de la compétence des forces de police, sous le contrôle du fédéral.

Le principe des voitures radars est d'insérer un radar dans une voiture banalisée et capable de photographier, sans flash visible, en roulant, tous les véhicules en excès de vitesse.

Pour se passer de tout agent assermenté, en France, la technologie a dû être améliorée pour faire en sorte que le chauffeur dans la voiture n'ait rien d'autre à faire que conduire.
Antérieurement, le policier devait intégrer les changements de limites de vitesse rencontrées, pendant que le collègue tenait le volant. Tout se fait désormais automatiquement.
Vu l'absence d'intervention dans le processus de constatation d'infraction, la tâche de conduire le véhicule peut effectivement être confiée à une personne autre qu'un agent de police.

Ce type de matériel n'est toutefois pas homologué en Belgique. Il ne peut donc être utilisé pour verbaliser les excès de vitesse à l’heure actuelle.

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