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L’avenir des missions économiques princières et les options envisagées pour pallier à la réduction de leur nombre, suite à la décision du gouvernement flamand

13 novembre 2014│ Question orale de M-D SIMONET au Ministre MARCOURT - Réponse disponible

Monsieur le Président,
Monsieur le Ministre,
Chers Collègues,

On le sait, suite à une décision unilatérale du seul gouvernement flamand, il n’y aura plus que deux missions économiques princières et non plus quatre. En effet, ces missions sont organisées par l’Agence pour le Commerce extérieur (ACE) qui associe le Fédéral et les trois Régions. La Flandre ayant donc annoncé ne plus vouloir payer sa part que pour deux missions et non quatre, elle a forcé de la sorte les autres Régions à s’aligner et le conseil d’administration de cette Agence a récemment acté cette nouvelle donne.

À juste titre, la Wallonie et Bruxelles avaient toutefois plaidé pour le maintien de la situation antérieure, soit quatre missions par an –hélas sans succès. Les entreprises elles-mêmes, des trois Régions du pays (par la voix tant de la FEB que de l’Unizo ou encore de l’UWE) avaient fait part de leur opposition à cette décision …mais elles ne sont pas davantage parvenues à convaincre le gouvernement flamand. Comme vous et comme les entreprises, je pense d’ailleurs que cette réduction des missions princières est une erreur, et une erreur d’autant plus bête qu’elle est en fait basée largement sur des motifs idéologiques et communautaires de la part du nouveau gouvernement flamand de Geert Bourgeois.

Pourtant, comme on vient justement de le constater avec la récente mission en Colombie et au Pérou, il est assez incontestable que ces missions sont particulièrement utiles afin de favoriser la « grande exportation » …toutes Régions confondues. Elles trouvent ainsi toute leur justification lorsqu’il faut se faire connaître une première fois, ouvrir un maximum de portes et avoir accès aux officiels au plus haut niveau. Ce qui est justement le cas pour les pays les plus lointains et les moins familiers aux entreprises belges.

Ceci étant dit, et les regrets étant formulés, il faut maintenant avancer : il ne sert à rien de pleurer sur le lait renversé. Les quatre missions princières traditionnelles étant désormais réduites à deux malgré nous, que fait-on pour pallier à cette difficulté et pour trouver une alternative adéquate pour nos entrepreneurs ? Quelles sont les pistes de solution actuellement sur la table ? Qu’envisagez-vous pour offrir aux entreprises wallonnes deux missions de nature similaire à celles supprimées et maintenir un même niveau de services ? En août dernier, vous aviez indiqué que « si la Flandre voulait dire qu’elle passe son tour et bien nous verrions avec Bruxelles, la Wallonie et le gouvernement fédéral s’il est possible de compenser d’une manière ou d’une autre » : qu’en est-il aujourd’hui ? Quelles sont les compensations possibles ? Vous aviez alors proposé notamment « de faire plus de missions interrégionales en sollicitant le cas échéant un membre de la famille royale pour présider ces missions » : est-ce toujours une piste que vous privilégiez ? Quelles en seraient les modalités concrètes ? Et comment se répartirait la charge budgétaire de telles missions « de substitution », si la Flandre n’est plus partie prenante à l’aventure ?

Je vous remercie d’avance pour vos réponses et vos précisions.

 

Réponses et répliques voir lien ci-dessous :

 

nautilus.parlement-wallon.be/Archives/2014_2015/CRIC/cric33.pdf
 

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