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La structure de réinsertion des ex-employés d’ArcelorMittal

29 septembre 2015 | Question orale de M-D SIMONET au Ministre MARCOURT - Réponse disponible

 

Monsieur le Ministre,


Rappelons-nous, dans le cadre de l'accord global qui avait été lié au plan industriel et puis à l’accord social d'ArcelorMittal, des décisions avaient été prises afin de participer au reclassement des travailleurs licenciés suite à la fermeture définitive de certains outils liégeois. Ainsi, il avait été décidé de la création d’une ASBL par la Région wallonne, Udil.ge, en tant que groupement d'employeurs pour former et réengager ces anciens travailleurs.


Il est inutile de revenir sur les détails de cette structure, que nous avons déjà évoquée dans cette enceinte. A ce sujet, au mois de juin, vous rappeliez, en réponse à une question sur le bilan des engagements d’ArcelorMittal, que 275 travailleurs avaient intégré le mouvement et que ceux-ci bénéficiaient de formations diverses.


Monsieur le Ministre, sur ces 275 membres, tous suivent-ils des formations ? Combien de travailleurs ont pu être mis à l’emploi ? Parle-t-on d’une majorité de contrats à durée indéterminée ou au contraire, les travailleurs réinsérés le sont-ils sous des contrats plus « précaires » ? Reste-t-il des places disponibles au sein de la structure ?

Par ailleurs, où en est-on dans la consommation du budget de la structure ? In fine, quel cout cette structure représente-t-elle aujourd’hui pour la Région ? Des évaluations officielles sont-elles opérées ?

 

Réponses et répliques voir lien ci-dessous : 

nautilus.parlement-wallon.be/Archives/2015_2016/CRIC/cric6.pdf
 

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