Evolution et état des lieux des stations de rechargement en Région wallonne pour les véhicules électriques
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2011,
- Environnement, Ruralité, Tourisme, Agriculture,
- Aménagement du territoire, Transports, Mobilité, Energie, Logement,
question écrite,
Carlo Di Antonio
05 septembre 2011 | Question écrite de M. Carlo DI ANTONIO à M. le Ministre Philippe HENRY
M. le Ministre,
Voici déjà près de deux ans que j’interrogeais Monsieur le Ministre au sujet du développement des stations de rechargement en Région Wallonne pour les véhicules électriques.
A l’époque, le déploiement de ces stations était quasi inexistant comparativement à nos voisins français et néerlandais.
Dans sa réponse, Monsieur le Ministre précisait que dans le cadre de l’évaluation du projet pilote suite au subventionnement de l’acquisition de véhicules électriques pour les communes wallonnes, une attention particulière serait portée à la problématique du rechargement des véhicules.
Que ressort-il de cette analyse ? Quelles sont les problématiques techniques et économiques qui ont pu être mises à jour afin de voir se tisser un réseau intelligent, sécurisé et performant?
Dès lors, quel est le nombre de stations de rechargement disponibles actuellement en Région Wallonne? Selon quelle répartition ?
Un échéancier précis est-il d’ores et déjà prévu ?
Quelle est la prévision au 1er janvier 2012, au 1er janvier 2015?
Selon les diverses analyses diffusées dans la presse spécialisée, on remarque encore un frein comportemental dans le développement des véhicules électriques.
Le concept du « Range Anxiety » analysé aux Etats Unis, entraine une peur pour l’automobiliste de tomber en panne d’autonomie à un moment critique sans pouvoir rapidement y remédier.
Cette crainte peut freiner le développement de l’utilisation de véhicules hybrides rechargeables faute de présence de bornes publiques.
C’est pourquoi, à mon sens, tant que la Belgique et notre Région ne disposera pas d'un réseau de recharge électrique suffisant, peu de nos concitoyens seront intéressés par l'achat d'un véhicule électrique.
Et inversement, si le nombre de véhicules électriques circulant est ridiculement bas, personne ne voudra investir dans un tel réseau de distribution.
Il devient déterminant d'aller de l'avant et de faire en sorte qu'il n'y ait plus d'entraves au développement des voitures de moins en moins polluantes.
D’avance, je vous remercie pour votre réponse.
Carlo Di Antonio
Voici déjà près de deux ans que j’interrogeais Monsieur le Ministre au sujet du développement des stations de rechargement en Région Wallonne pour les véhicules électriques.
A l’époque, le déploiement de ces stations était quasi inexistant comparativement à nos voisins français et néerlandais.
Dans sa réponse, Monsieur le Ministre précisait que dans le cadre de l’évaluation du projet pilote suite au subventionnement de l’acquisition de véhicules électriques pour les communes wallonnes, une attention particulière serait portée à la problématique du rechargement des véhicules.
Que ressort-il de cette analyse ? Quelles sont les problématiques techniques et économiques qui ont pu être mises à jour afin de voir se tisser un réseau intelligent, sécurisé et performant?
Dès lors, quel est le nombre de stations de rechargement disponibles actuellement en Région Wallonne? Selon quelle répartition ?
Un échéancier précis est-il d’ores et déjà prévu ?
Quelle est la prévision au 1er janvier 2012, au 1er janvier 2015?
Selon les diverses analyses diffusées dans la presse spécialisée, on remarque encore un frein comportemental dans le développement des véhicules électriques.
Le concept du « Range Anxiety » analysé aux Etats Unis, entraine une peur pour l’automobiliste de tomber en panne d’autonomie à un moment critique sans pouvoir rapidement y remédier.
Cette crainte peut freiner le développement de l’utilisation de véhicules hybrides rechargeables faute de présence de bornes publiques.
C’est pourquoi, à mon sens, tant que la Belgique et notre Région ne disposera pas d'un réseau de recharge électrique suffisant, peu de nos concitoyens seront intéressés par l'achat d'un véhicule électrique.
Et inversement, si le nombre de véhicules électriques circulant est ridiculement bas, personne ne voudra investir dans un tel réseau de distribution.
Il devient déterminant d'aller de l'avant et de faire en sorte qu'il n'y ait plus d'entraves au développement des voitures de moins en moins polluantes.
D’avance, je vous remercie pour votre réponse.
Carlo Di Antonio