L’augmentation de la dépendance à l’alcool en Province de Namur
10 octobre 2011 | Question écrite de M. Maxime PREVOT à Mme la Ministre Eliane TILLIEUX
Madame la Ministre,
Une étude menée par l’Institut de la Santé Publique concernant le nombre de personnes qui sont dépendantes à l’alcool en Province de Namur relève que le pourcentage de la population considérée comme alcoolique a augmenté de manière spectaculaire en quatre ans, en passant de 7 à 12,2% entre 2004 et 2008.
Cette étude, réalisée sur base d’un questionnaire, pointe notamment l’inquiétante croissance du nombre de jeunes dépendants à l’alcool, et le manque d’institutions d’accueil afin de prendre en charge ces personnes.
Madame la Ministre :
- Disposez-vous de données plus récentes permettant de confirmer ou d’infirmer cette augmentation ?
- Envisagez-vous de renforcer les moyens afin de permettre aux institutions d’accueil de pouvoir recevoir les personnes dépendantes ?
- Des contacts ont-ils été pris avec votre collègue en charge de la Santé publique à la Fédération Wallonie-Bruxelles afin de mener des nouvelles campagnes de sensibilisation, en particulier à destination des publics les plus fragiles ?
Je vous remercie,
Maxime Prévot
Une étude menée par l’Institut de la Santé Publique concernant le nombre de personnes qui sont dépendantes à l’alcool en Province de Namur relève que le pourcentage de la population considérée comme alcoolique a augmenté de manière spectaculaire en quatre ans, en passant de 7 à 12,2% entre 2004 et 2008.
Cette étude, réalisée sur base d’un questionnaire, pointe notamment l’inquiétante croissance du nombre de jeunes dépendants à l’alcool, et le manque d’institutions d’accueil afin de prendre en charge ces personnes.
Madame la Ministre :
- Disposez-vous de données plus récentes permettant de confirmer ou d’infirmer cette augmentation ?
- Envisagez-vous de renforcer les moyens afin de permettre aux institutions d’accueil de pouvoir recevoir les personnes dépendantes ?
- Des contacts ont-ils été pris avec votre collègue en charge de la Santé publique à la Fédération Wallonie-Bruxelles afin de mener des nouvelles campagnes de sensibilisation, en particulier à destination des publics les plus fragiles ?
Je vous remercie,
Maxime Prévot