L’exploitation du sous-sol carbonifère hennuyer
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2009,
Carlo Di Antonio,
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12 mars 2009 │ Question écrite de M. Carlo DI ANTONIO à M. le Ministre Jean-Claude MARCOURT
M. le Ministre,
Il y a près d’un an, j’interrogeais Monsieur le Ministre sur l’exploitation de notre sous-sol carbonifère.
Je reviens sur sa réponse pour connaître l’évolution de ce dossier novateur en termes de développement économique pour notre région et plus précisément pour la province de Hainaut.
Deux pistes étaient dès lors dégagées et étaient susceptibles de connaître dans un avenir proche une forte plus-value pour notre région : la récupération du méthane et la séquestration du CO2.
Concernant la récupération du méthane, l’entreprise EGL tenterait d’obtenir des concessions ou droits d’exploitation du gaz contenu dans des mines wallonnes. La faisabilité technique ne poserait pas de problème.
Quel est l’état d’avancement de ce dossier à ce jour ?
Concernant la séquestration du CO2, une expérience pilote de reprise et d’enfouissement couplée à une récupération de grisou-méthane contenu dans les veines carbonifères devait être conduite.
Comme Monsieur le Ministre le précisait, la zone la plus intéressante se situerait dans le Houiller du Hainaut selon les géologues et les spécialistes de la question.
Il y a plusieurs mois, le gouvernement a lancé un appel à projet en vue de l’octroi d’une aide au projet qui serait le plus adéquat.
Quel en a été le résultat ?
Quelles sont les prochaines étapes à venir ?
Ces dossiers au combien stratégiques marquent un intérêt déterminant pour notre industrie et sont en passe de marquer notre capacité à être exemplaire et ambitieux.
Que ce soit en vue de la conférence de Copenhague de décembre 2009 mais plus généralement pour fixer notre tournant industriel soucieux des contraintes climatiques.
Je vous remercie pour votre réponse,
Carlo DI ANTONIO
Il y a près d’un an, j’interrogeais Monsieur le Ministre sur l’exploitation de notre sous-sol carbonifère.
Je reviens sur sa réponse pour connaître l’évolution de ce dossier novateur en termes de développement économique pour notre région et plus précisément pour la province de Hainaut.
Deux pistes étaient dès lors dégagées et étaient susceptibles de connaître dans un avenir proche une forte plus-value pour notre région : la récupération du méthane et la séquestration du CO2.
Concernant la récupération du méthane, l’entreprise EGL tenterait d’obtenir des concessions ou droits d’exploitation du gaz contenu dans des mines wallonnes. La faisabilité technique ne poserait pas de problème.
Quel est l’état d’avancement de ce dossier à ce jour ?
Concernant la séquestration du CO2, une expérience pilote de reprise et d’enfouissement couplée à une récupération de grisou-méthane contenu dans les veines carbonifères devait être conduite.
Comme Monsieur le Ministre le précisait, la zone la plus intéressante se situerait dans le Houiller du Hainaut selon les géologues et les spécialistes de la question.
Il y a plusieurs mois, le gouvernement a lancé un appel à projet en vue de l’octroi d’une aide au projet qui serait le plus adéquat.
Quel en a été le résultat ?
Quelles sont les prochaines étapes à venir ?
Ces dossiers au combien stratégiques marquent un intérêt déterminant pour notre industrie et sont en passe de marquer notre capacité à être exemplaire et ambitieux.
Que ce soit en vue de la conférence de Copenhague de décembre 2009 mais plus généralement pour fixer notre tournant industriel soucieux des contraintes climatiques.
Je vous remercie pour votre réponse,
Carlo DI ANTONIO