La restructuration de l’entreprise Ariston à Malonne
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2011,
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Maxime Prévot,
- Emploi, Economie, Commerce extérieur, Formation, Sports, Patrimoine
17 octobre 2011 | Question écrite de M. Maxime PREVOT à M. le Ministre Jean-Claude MARCOURT
Monsieur le Ministre,
Début de ce mois, la direction de la société MTS-Ariston a annoncé son intention de restructurer son site de production, sis à Malonne. Le projet de plan de licenciement collectif concerne 55 travailleurs (soit six employés et 49 ouvriers) sur les 233 personnes employées. Cette proportion ouvre la porte à l’enclenchement d’une procédure Renault. Le plan de licenciement privilégie les prépensions dès 52 ans et permet de réduire, actuellement, le nombre de licenciements secs à 13.
Parallèlement la direction a annoncé un investissement sur le site de 4 millions d’euros pour une nouvelle ligne de production et une recherche de l’amélioration de l’efficience. Cette nouvelle ne rassure que partiellement les organisations syndicales et les travailleurs qui désirent pouvoir disposer d’une véritable vue à long terme afin de pérenniser l’activité et l’emploi.
Monsieur le Ministre :
- La société MTS-Ariston a-t-elle reçue, par le passé, des aides à l’investissement ou à l’emploi de la Région wallonne ? La restructuration prévue respecte-t-elle les conditions d’octroi de ces éventuelles aides ?
- Ces aides étaient-elles assorties de conditions de maintien de l’emploi ?
- La société a-t-elle sollicitée l’aide de la Wallonie ou d’un autre acteur public, je pense notamment ici à la SOGEPA, afin de lui permettre de surmonter, soit par un apport financier, soit par une expertise, cette mauvaise passe ?
- Dans le cadre de l’investissement annoncé, la société a-t-elle sollicité la Région wallonne ?
- Si elle devait le faire, envisagez-vous d’inclure des conditions afin de préserver les 13 travailleurs actuellement menacés de licenciements secs ?
Je vous remercie,
Maxime Prévot
Début de ce mois, la direction de la société MTS-Ariston a annoncé son intention de restructurer son site de production, sis à Malonne. Le projet de plan de licenciement collectif concerne 55 travailleurs (soit six employés et 49 ouvriers) sur les 233 personnes employées. Cette proportion ouvre la porte à l’enclenchement d’une procédure Renault. Le plan de licenciement privilégie les prépensions dès 52 ans et permet de réduire, actuellement, le nombre de licenciements secs à 13.
Parallèlement la direction a annoncé un investissement sur le site de 4 millions d’euros pour une nouvelle ligne de production et une recherche de l’amélioration de l’efficience. Cette nouvelle ne rassure que partiellement les organisations syndicales et les travailleurs qui désirent pouvoir disposer d’une véritable vue à long terme afin de pérenniser l’activité et l’emploi.
Monsieur le Ministre :
- La société MTS-Ariston a-t-elle reçue, par le passé, des aides à l’investissement ou à l’emploi de la Région wallonne ? La restructuration prévue respecte-t-elle les conditions d’octroi de ces éventuelles aides ?
- Ces aides étaient-elles assorties de conditions de maintien de l’emploi ?
- La société a-t-elle sollicitée l’aide de la Wallonie ou d’un autre acteur public, je pense notamment ici à la SOGEPA, afin de lui permettre de surmonter, soit par un apport financier, soit par une expertise, cette mauvaise passe ?
- Dans le cadre de l’investissement annoncé, la société a-t-elle sollicité la Région wallonne ?
- Si elle devait le faire, envisagez-vous d’inclure des conditions afin de préserver les 13 travailleurs actuellement menacés de licenciements secs ?
Je vous remercie,
Maxime Prévot
