La sécurisation de la RN 552 rue d’Elouges
12 mars 2009 │ Question écrite de M. Carlo DI ANTONIO à M. le Ministre Michel DAERDEN
J’ai déjà eu l’occasion d’interroger Monsieur le Ministre sur ses intentions concernant les aménagements de sécurisation de la R.N 552 (Rue d’Elouges) qui ouvre l’accès à l’entité douroise.
Dans ses réponses, Monsieur le Ministre me signifiait que rien n’était prévu pour le moment dans les budgets de la Direction des Routes de Mons pour rendre cette artère importante moins accidentogène.
Des aménagements physiques sont-ils dès lors prévus pour 2009 concernant cette section de voirie ?
Je vous remercie
Carlo DI ANTONIO
En réponse à sa question, je ne peux que confirmer la réponse que j'avais déjà apportée à l'honorable Membre à propos de la sécurisation de la R.N. 552. Compte tenu des moyens budgétaires disponibles au sein du département des routes, il ne m'a malheureusement pas été possible de réserver des crédits à la sécurisation de la R.N. 552.
J'informe, en outre, l'honorable Membre que la R.N. 552 ne figure pas sur la liste des ZHR de la Région wallonne, et que priorité a été accordée sous cette législature au traitement des zones qui sont objectivement reconnues comme les plus accidentogènes de la Région.
Dans ses réponses, Monsieur le Ministre me signifiait que rien n’était prévu pour le moment dans les budgets de la Direction des Routes de Mons pour rendre cette artère importante moins accidentogène.
Des aménagements physiques sont-ils dès lors prévus pour 2009 concernant cette section de voirie ?
Je vous remercie
Carlo DI ANTONIO
Réponse du Ministre DAERDEN :
En réponse à sa question, je ne peux que confirmer la réponse que j'avais déjà apportée à l'honorable Membre à propos de la sécurisation de la R.N. 552. Compte tenu des moyens budgétaires disponibles au sein du département des routes, il ne m'a malheureusement pas été possible de réserver des crédits à la sécurisation de la R.N. 552.
J'informe, en outre, l'honorable Membre que la R.N. 552 ne figure pas sur la liste des ZHR de la Région wallonne, et que priorité a été accordée sous cette législature au traitement des zones qui sont objectivement reconnues comme les plus accidentogènes de la Région.
